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Un haras national, un Espace jeunes et un Palais de Justice… Trois infrastructures à incidence positive directe sur le vécu des populations et autant de preuves des ambitions d’un bâtisseur qui veut laisser du concret à la postérité.

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Mouvementée aura été, hier, la visite du président de la République, Me Abdoulaye Wade à Kébémer et surtout à Louga. Face à des bandeaux et des foulards rouges brandis et aux cris réclamant son départ, Me Wade n’a eu pour seule attitude que d’y voir la main de ses adversaires politiques. Il a réclamé la mairie de Louga pourtant déjà entre les mains de son parti et a fait endosser, à son prédécesseur, Abdou Diouf, l’absence de réalisations à Louga.

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Les militants du Parti socialiste à Louga ont a réussi à saboter, mercredi après midi, l'accueil du président Wade dans la ville en arborant des brassards rouges en signe de contestation de ce qu'il considère comme un « manque de considération » à l'endroit de leur localité. La police a interpellé plusieurs personnes

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Les éleveurs de la région de Louga regroupés au sein du Groupement des éleveurs pour la promotion des races ovine et caprine (Geproc) ont organisé samedi la première édition de la foire du mouton, après-indépendance. Une manifestation présidée par le ministre de l’Elevage, Mme Oumy Khaïry Guèye Seck.

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Jamais visite du président Abdoulaye Wade n’a été aussi mouvementée que celle qu’il a vécue à Louga où des milliers de brassards rouges ont été brandis par des jeunes au sein de la timide masse de militants libéraux, apparemment dépassée par les évènements.

Les Lougatois ont voulu montrer au chef de l’Etat, toute leur frustration et leur rancœur devant le ‘mépris affiché’ par le gouvernement de l’alternance à l’égard de la ville de Louga et de ses fils. En effet, jamais un Lougatois n’a été nommé au poste de ministre depuis l’accession

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Le chef de l’État l’a annoncé hier au cours de son intervention que si la faisabilité de Lompoul en capitale ne se concrétise pas, le projet sera transféré à Kébémer. Car, d’après les études faites, la terre n’est pas disposée à abriter la capitale. « Je suis en train d’étudier sur la faisabilité des sols avec des partenaires. C’est le sol qui ne répond pas à l’étude de la capitale, je suis en discussions avec les partenaires, mais cela n’est pas possible, je

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