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La ziaarra annuelle de Nguick Fall pour 2007 a pris fin hier dimanche. Cette rencontre religieuse fut initiée par Le grand marabout de Louga Serigne Abass Sall (RTA) afin de permettre aux croyants de se retrouver chaque année loin des cadences de la ville pour mieux se concentrer sur la pratique de l'islam sur plusieurs aspects.

Quatre jours durant (du jeudi eu vendredi), parents, fidèles, amis se retrouvent à Nguick, à 35 kilomètres de Louga pour se consacrer uniquement aux prières et aux recueillements, à la récitation du saint coran et à la visite des cimetières dont reposent de grands saints de l'islam.

La ziaaraa de cette année a vu naître plusieurs innovations notamment avec l'augmentation des maisons d'accueil, l'arrivée de l'électricité dans tout le village ainsi que l'implantation d'un service médicale au service des fidèles venus d'horizons divers.

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« Barça ou Barsax ». Ce concept est revenu hier dans le discours du candidat de la coalition «And defar Sénégal» en meeting à Louga. Robert Sagna qualifie les accords avec l’Espagne, issus de l’émigration clandestine via la mer, à de l’esclave et s’est offusqué de l’utilisation du fonds national de promotion de la jeunesse à des fins politiques. S’adressant aux jeunes, Robert Sagna affirme : «Je ne souhaite plus que l’océan soit votre cimetière. Je ne souhaite plus que vous tentiez cette aventure. Je ne souhaite pas que vous soyez vendus à des pays développés sans que vous ne puissiez régler vos problèmes. Ce n’est pas digne, ce n’est pas acceptable ce n’est pas moral». Et la solution selon lui, est d’avoir «un Président respecté et respectable digne de confiance. Non seulement notre image de marque en dépend sur le plan intérieur, mais également sur le plan international». Autre problème sur

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Dans le quartier Escale où doit se tenir le meeting de Alioune " Petit " Mbaye, des chaises sont disposées en forme de cercle. Dans l'enceinte, une batterie de tam-tams très en verve assure l'animation.

Certaines spectatrices n'hésitent pas à esquisser des pas de danse en attendant le candidat indépendant Alioune " Petit " Mbaye. Ce dernier annoncé à 16 heures s'est pointé à 21 heures passées. Sa venue est annoncée par un concert de klaxons et aussi sa sonorisation.

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Le président de la République, Léopold Sédar Senghor en désamour politique avec le président du Conseil municipal de Louga d’alors, Mansour Bouna Ndiaye, avait fait reporter une visite prévue en février 1977 dans la capitale du Ndiambour, de peur de recevoir comme cadeau royal un lion qui compromettrait sa carrière présidentielle. Ce fait insolite est rapporté dans un pamphlet intitulé «Mon ambition pour Louga» et extrait du livre intitulé «le Prince qui croyait à la démocratie», un ouvrage écrit par l’ancien président du Conseil municipal de Louga, Mansour Bouna Ndiaye.

«Lorsque j’avais décidé, en ma qualité de prince, d’offrir un lion, roi des animaux comme cadeau royal au Président Senghor, ce fût la panique dans le camp de mes adversaires politiques qui sont allés dire au chef de l’Etat qu’il peut mourir de ce cadeau», a rapporté M. Ndiaye. «Lorsque le lionceau ‘’César’’, né au parc zoologique de Vincennes (France) en août 1976, arriva à Louga,

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C’est dans le calme et sans contestation que le vote des personnels militaires et paramilitaires s’est déroulé dans les départements de Louga et Kébémer.

Si 212 électeurs ont été officiellement inscrits à Louga, cinq autres s’y sont ajoutés. gendarmes qui y ont été affectés, et qui ont voté avec des ordres de mission. Ce qui porte le nombre d’inscrits à 217, dont 181 votants.

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Calme et tranquillité. C’est l'atmosphère qui a prévalu, hier, à Louga, lors du vote des corps militaires et paramilitaires. A l’école 1 où est implanté le seul bureau de vote prévu pour le département, le président du bureau de vote Abdoulaye Diack et ses assesseurs que nous avons trouvés sur place, disent n’avoir ‘noté aucun problème’ dans le déroulement des votes militaires. Ainsi, sur les 217 inscrits dont 5 gendarmes détenteurs d’ordres de mission, 64 % d’entre eux avaient déjà rempli leur devoir citoyen, rien que dans la journée du samedi. C’est aussi ce qui explique entre autres raisons, l’image désertique affichée par ce bureau, dans le journée du dimanche, où seuls 18 votants ont fait le déplacement. A propos des informations relayées par la presse et qui faisaient croire qu’il y aurait un nombre

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A Louga, Idrissa Seck a cloué au pilori les 40 ans de gestion du régime socialiste et les 7 ans de Wade au pouvoir pour dire qu’ ’ils n’ont rien fait à Louga’. ‘Quand j’ai fait le tour de Louga, j'ai pu constater que les 40 ans du régime socialiste et les 7 ans du régime d'Abdoulaye Wade n’ont pas modifié la physionomie de la ville de Louga’, a-t-il laissé entendre devant ses admirateurs venus nombreux l'accueillir. Avant d'ajouter : ‘Pour en finir avec Wade, faites en sorte qu’au soir du 25 février 2007, que cette mobilisation se traduise dans les urnes et que notre victoire soit assurée par une très forte présence, en particulier des

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La ville de Louga et au-delà tout le Ndiambour pleure Mademba Diop dit Mass Diop. Un artiste de dimension exceptionnelle arraché à notre affection à l’âge de 79 ans. Ce natif du Ndiambour, une région connue pour son rayonnement culturel, est à l’origine de la création en 1951 du Cercle de la jeunesse de Louga qui a eu ces moments de gloire et qui a vu passé plusieurs générations d’artistes. “ C’est Mademba Diop qui a fondé le cercle de la jeunesse avec des amis comme Elimane Thiam, Mbole Seck et Birahim Dieng, entre autres ”, fait savoir Youssou Mbargane Mbaye, artiste, premier vice-président du Réseau national des communicateurs traditionnels du Sénégal, président national de la Fédération sénégalaise de théâtre populaire et de musique et directeur de la troupe communale de Louga.

D’ailleurs, si beaucoup d’artistes sénégalais, notamment ceux de la région de Louga, sont sortis de l’anonymat, c’est grâce à leur passage dans ce temple culturel, lieu de formation, d’initiation, créé par feu Mademba Diop, pour mieux imprégner les jeunes de leur culture. “ C’est lui qui m’a formé. C’est mon guide. C’est un homme extraordinaire. C’était un musicien hors pair. Quand on parle de “ self made man ” c’est Mademba Diop ”, témoigne Youssou Mbargane Mbaye qui révèle également que Mademba est le père du théâtre populaire au Sénégal. Il a aussi été l’un des premiers inspecteurs de la jeunesse.

Pour Youssou Mbaye, il incarne “ l’école ” de Louga au plan culturel. Et si le Cercle de la jeunesse de Louga s’est très tôt distingué, c’est grâce à son génie créateur. D’ailleurs, c’est sous

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